Je ne pense pas qu'il soit plus aisé pour une femme de se confier. Nous avons tendance à parler plus facilement, mais cela ne signifie pas que nous nous connections plus à nos sentiments, nos émotions. Je dirais même que c'est l'inverse, nous sommes débordées par elles et cela nous pousse à nous exprimer, mais la plupart du temps sur les causes de nos ressentis et non sur le ressenti lui-même.
C'est là où il est flagrant que nous, femmes et hommes, nous sommes éloignés de notre nature profonde. Les femmes sont, depuis l'origine, les "donneuses de vie". Or, pour qu'il y ait vie, il doit y avoir amour. L'amour passe donc par les femmes, le premier modèle qu'à l'enfant, dès sa naissance. Il s'identifie à sa mère, et devient son reflet.
Cependant, l'histoire de l'homme montre que ce sentiment d'amour, de compassion, supposé être envoyé par la femme a été remplacé par une envie de force, de puissance. Dans une société où seul le matériel compte, il est évident que pour survivre, la femme a dû s'adapter pour contrecarrer cette montée du pouvoir que souhaitait exercer l'homme sur elle et a développer son coté "masculin".
Tout cela pour te dire que sous chaque femme à la recherche de reconnaissance, de valorisation, de sa place dans le monde, se cache une mère qui ne demande qu'à donner de l'amour, de la tendresse et du bonheur.
Je suis moi-même constamment tiraillée entre cette envie de réussir, d'être indépendante, forte et sans peurs. Et celle bien plus profonde de briller par ma compassion, mon écoute et mon amour, car faisant partie de ma vraie nature.
Le combat entre s'attacher à l'homme, source de mon enchainement, ou l'aimer en lui faisant confiance, en me disant qu'il est aussi une part de moi. En envisageant "toi" plus "moi" pour créer un couple riche, évolutif et le "nous" devient le symbole de cette énergie d'amour qui circule entre nous.
Catherine
C'est là où il est flagrant que nous, femmes et hommes, nous sommes éloignés de notre nature profonde. Les femmes sont, depuis l'origine, les "donneuses de vie". Or, pour qu'il y ait vie, il doit y avoir amour. L'amour passe donc par les femmes, le premier modèle qu'à l'enfant, dès sa naissance. Il s'identifie à sa mère, et devient son reflet.
Cependant, l'histoire de l'homme montre que ce sentiment d'amour, de compassion, supposé être envoyé par la femme a été remplacé par une envie de force, de puissance. Dans une société où seul le matériel compte, il est évident que pour survivre, la femme a dû s'adapter pour contrecarrer cette montée du pouvoir que souhaitait exercer l'homme sur elle et a développer son coté "masculin".
Tout cela pour te dire que sous chaque femme à la recherche de reconnaissance, de valorisation, de sa place dans le monde, se cache une mère qui ne demande qu'à donner de l'amour, de la tendresse et du bonheur.
Je suis moi-même constamment tiraillée entre cette envie de réussir, d'être indépendante, forte et sans peurs. Et celle bien plus profonde de briller par ma compassion, mon écoute et mon amour, car faisant partie de ma vraie nature.
Le combat entre s'attacher à l'homme, source de mon enchainement, ou l'aimer en lui faisant confiance, en me disant qu'il est aussi une part de moi. En envisageant "toi" plus "moi" pour créer un couple riche, évolutif et le "nous" devient le symbole de cette énergie d'amour qui circule entre nous.
Catherine
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